Parce que c’était toi – Bruno Combes

Parce que c’était toi est l’exemple-type du livre que j’ai choisi pour sa couverture ! Une femme de dos tenant la main du photographe, c’est THE photo des blogueurs voyage ! (même si elle commence un peu à passer de mode, victime de son succès)

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De quoi parle Parce que c’était toi ?

À l’âge de seize ans, ils s’étaient juré un amour éternel. Vingt-sept ans plus tard, ils se sont retrouvés et rien n’a pu empêcher cette passion de renaître. Ni les deux beaux enfants de Camille, ni Richard, son mari, et son associé dans leur cabinet d’avocats.

Mais peu à peu Stephen, totalement libre, lui, ne peut plus supporter cette liaison et somme Camille de choisir. Bouleversée par cet ultimatum, celle-ci a un accident de voiture où sa fille est blessée et elle-même très atteinte, surtout psychologiquement.

Stephen, bien sûr, ne peut pas aller la voir, toute sa famille est autour d’elle. Mais il la bombarde d’appels, lui demande pardon… Camille est rassurée : dès qu’elle ira mieux, tout recommencera comme avant. Sauf que tout change…

 

«  Et si c’était cela, la recette du bonheur ?
Envelopper les plus belles parenthèses du passé et les laisser s’envoler. Savoir apprivoiser ces milliers de sensations et de découvertes et les garder au fond de nous comme une assurance de paix pour l’avenir.
Se dire que, malgré les moments de souffrance, il y aura toujours ce souffle apaisant d’air chaud qui nous accompagnera. »

 

Mon avis sur Parce que c’était toi ?

C’est en écrivant cette chronique que j’ai découvert qu’il s’agissait d’une suite au premier roman de l’auteur : Seulement si tu en as envie… Autant te dire que la lecture de ce second opus sans avoir lu le précédent ne m’a pas dérangée le moins du monde ! L’auteur nous livre l’essentiel de ce que l’on a pu manquer. Les deux lectures sont indépendantes. Mais bon, si tu le peux, mieux vaut lire le premier d’abord, hein ! Maintenant que tu sais !

J’ai terminé le livre de 322 pages en trois jours. Si j’ai pu le trouver mièvre sur ses débuts, j’avoue qu’ensuite je ne suis plus arrivée à le lâcher, et je l’ouvrais à chaque moment « perdu » ! Les chapitres courts et les nombreux paragraphes permettaient de lire aisément lors de courts temps de pause. Les péripéties et les rebondissements s’enchaînent rapidement, on a toujours envie d’en savoir davantage.
Les personnages sont attachants, surtout le « petit père » et la « petite mère » de Camille, l’héroïne. Bruno Combes sait rendre ses protagonistes humains, notamment en alternant les narrateurs qui racontent les événements de leurs points de vue avec leurs sentiments.

Le fond traite de sujets courants mais pas forcément légers : l’adultère, les amours de jeunesse, la maladie, l’amour-raison VS la passion… Il y a fort à parier qu’au moins un de ces thèmes fera écho à chaque lecteur.

Enfin, j’ai aimé la manière dont l’auteur faisait démarrer chaque chapitre : des petits textes au croisement entre des essais philosophiques et des citations et qui amènent le lecteur à s’interroger sur sa propre vie à la lumière de celle de l’héroïne. Des sortes d’interrogations de vérité générale, en somme !

Au final ? Parce ce que c’était lui, ce livre ?

Je ne pense pas que Parce que c’était toi laissera des souvenirs impérissables dans ma mémoire mais sa lecture a été très plaisante et m’a fait passer d’agréables moments. Un roman parfait pour les beaux jours, à siroter en terrasse pour s’évader, vivre l’amour dans toutes ses dimensions… Ça fait du bien de temps en temps un peu de bons sentiments !

« Peut-être parce que c’était moi,
Sans doute parce que c’était toi ! »

 

Ma note : 15 / 20

 

Je remercie chaleureusement les éditions Michel Lafon pour cette lecture issue d’un service de presse !

 

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2 réponses

  1. Oh bordel j’ai envie de lire ce bouquin aussi mdr je te déteste !!!! Je vais commencer par le premier quand même mdr par contre j’arrête de lire tes chroniques avant le mois prochain bisous

    1. Je viens de le mettre en vente parce qu’il nous faut absolument faire de la place dans nos étagères ! J’en peux plus de l’empilement compulsif ! Je dis ça, je dis rien…

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