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Les jours sucrés – Loïc Clément et Anne Montel

Cette BD, je la voulais ! Vraiment ! Je l’avais repérée depuis des mois, et puis celui-ci, comme on doit y faire ce qu’il nous plait (j’aime tellement ce genre de dictons inspirants), j’ai craqué. Sans aucun regret !

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De quoi ça parle ?

À 25 ans, Églantine apprend le décès de son père et part pour Klervi, le village breton de son enfance. Elle y retrouve sa vie d’avant, ses souvenirs et la boulangerie-pâtisserie paternelle (qui est désormais la sienne), mais aussi Gaël, son amoureux de l’époque, sa tante Marronde et tous les chats du village. Surtout, elle découvre le journal intime de son père. Il y a mis tous ses secrets de vie et de cuisine. Un véritable guide pour Églantine. Et si c’était l’occasion d’un nouveau départ ?

Mon avis ?

Je ne sais même pas par quoi commencer. C’est simple, j’ai TOUT aimé.
Bon, pour être tout à fait franche, je pensais avoir du mal avec les illustrations. Et tu sais combien c’est important les illustrations quand on ouvre une BD. De mon côté, j’étais convaincue comme devant un gâteau débordant de crème au beurre. Je trouvais qu’elles ressemblaient beaucoup à celles que l’on retrouve dans les rubriques des magazines (que je ne critique pas d’ailleurs car je les aime bien, mais surtout dans les magazines et pas trop ailleurs) : vignettes à fond blanc avec personnages dessinés assez naïvement.
Puis au final, j’ai oublié. L’histoire m’a littéralement transportée et j’ai trouvé que les images étaient totalement appropriées et surtout variées : avec fond, sans fond, petites puis grandes, en couleur avec des passages en noir et blanc… Tu as compris le principe. Pas le temps de s’ennuyer !

L’histoire maintenant… Ah l’histoire… Quand j’ai ouvert ce blog, j’ai parlé de mon coup de cœur 2016 : La petite boulangerie du bout du monde de Jenny Colgan. Cette BD a fait quelques clins d’œil à cette lecture précédente : on retrouve une héroïne qui plaque tout pour se lancer professionnellement dans un secteur manuel qui n’a rien à voir avec ses compétences actuelles, qui va évoluer pour devenir différente et quelque part, meilleure, qui va rencontrer l’amour.

J’ai même eu l’impression d’avoir affaire à un conte moderne : une situation-problème (la mort du papa), la mère détenant des secrets, un objet magique en l’état du livre de recettes du papa, un preux chevalier (qui est instit, la grande classe !), une marraine la bonne fée : sa tante. Et puis des animaux qui parlent : les matous du quartier ! Il ne manque plus qu’une chanson restant dans la tête pour les 30 ans à venir !

Les personnages secondaires sont supers : attachants, pas vraiment ceux que l’on pense. On découvre leurs mystères au fil de la lecture. Mention spéciale pour la tante Marronde qui m’a fait « mourire » (oui, contraction de « mourir de rire ») avec son franc-parler sans paroles ! La jeune copine Mei n’était pas mal dans le genre non plus !

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Au final ?

Je te conseille d’ouvrir ta bourse. Ce livre est une douceur sucrée feel-good : elle fond sur la papille cérébrale (mais ne fait pas grossir). Je me suis même accordé le luxe de verser ma larmichette finale ! Un coup de cœur, en somme.

Ma note : 19/20

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